Réchauffement des Londoniens : moins cold-wave, plus dansants. Critique et écoute.
Entré en action dans la deuxième moitié des années 2000, Factory Floor a véritablement trouvé sa voie (et sa voix) en 2010, lorsque Gabriel Gurnsey (batterie, percussions) et Dominic Butler (synthés, machines) se sont associés avec Nik Colk Void (chant, guitare, samples).
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
S’éloignant alors du post-punk blafard de ses débuts pour tendre vers des zones plus électroniques et rythmiques, le groupe londonien a fait de rapides ravages, à coups de singles mutants et détonants, et a fort logiquement signé avec DFA en 2011.
Prélude à un premier album attendu comme le messie indie, sort en ce début 2013 un single dont le morceau phare, Fall back, est une parfaite bombinette, faite de froid laconisme autant que de fiévreux hédonisme, au contact hypnotique de laquelle il semble impératif de rebaptiser le trio Factory Dancefloor.
{"type":"Banniere-Basse"}