En concert aux Trans, The Hacker achève en beauté noire son diptyque. Critique et écoute.
Quelques mois après la première partie, à laquelle nous avions réservé un accueil enthousiaste, The Hacker sort la deuxième partie de son nouvel album – et l’accueil reste tout aussi enthousiaste. Si la très percutante première partie, correspondant à la moitié Kraft du titre, reflète le côté le plus techno et énergique de cet album bifrons (mais assurément pas bas du front), la deuxième, correspondant à la moitié Love, en dévoile le côté le plus electro et mélancolique. Loin de la bluette guillerette et de la romance à l’eau de rose, l’amour présente en effet ici tous les ardents attributs de la passion – une passion explorée en profondeur par The Hacker au gré de sept morceaux (instrumentaux, exception faite du presque pop Tenebra) d’une entêtante noirceur, parsemés de gimmicks synthétiques superbement accrocheurs. Un parfait coup de foudre.
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concert le 17 janvier à Grenoble
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