Radieuse et groovy, de la pop qui rend les gens contents. Critique et écoute.
Il y a presque vingt ans (aïe) le trio anglais Supergrass enflammait oreilles et jambes en passant à la moulinette trois décennies de pop anglaise. Egalement venu d’Angleterre, le duo Bosco Rogers entreprend à peu de choses près la même initiative, fusionnant dans un premier ep ses influences pop et garage.
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Il y a, dans ces chansons qui ne connaissent pas le spleen, l’ombre d’un tas d’aînés respectables : on pense à Primal Scream sur Googoo, à des Zombies qui chanteraient sur un titre de Beck sur The Middle, petit tube radio potentiel de l’hiver, ou encore aux compilations Nuggets sur In Stereo, un morceau qui, jusque dans son titre d’ailleurs, n’aurait pas détonné sur un disque de Supergrass… Si l’ensemble ne réinvente pas la roue, il faut savoir saluer le travail des bons élèves de l’histoire de la pop.
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