Une éruption garage née du magma clermontois. Critique.
Depuis les premiers déhanchements d’Iggy “Stooge”, on sait que le punk-rock ne se porte jamais mieux que quand il a un Stromboli dans le caleçon. Jaillies d’une terre de volcans, les chansons des Plastic Invaders font honneur à leur substrat géologique en crachant le feu (aux fesses). Sur le second album du gang clermontois, les Hives surfent sur une coulée de lave en fusion, Haroun Tazieff signe des hits estampillés Nuggets et la scène auvergnate renoue avec l’urgence éruptive de ses années Real Cool Killers.
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