Epaulés par Bill Ryder-Jones (The Coral), le groupe offre un premier album nonchalant et aéré. Critique et écoute.
Ravissante anomalie dans l’espace-temps, le premier album de Hooton Tennis Club ressuscite l’esprit slacker avec des pop-songs nonchalantes et aérées. On imagine volontiers ces mélodies délavées au milieu des nineties, sous le soleil californien, et donc dans l’ombre de Pavement.
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Erreur : ces garçons préfèrent citer des références de leur génération (Deerhunter, Ariel Pink) et viennent de la péninsule de Wirral, dans le nord-ouest de l’Angleterre. Venu en voisin, l’ex-Coral Bill Ryder-Jones quitte temporairement ses somptueux habits de guitariste et de songwriter pour les épauler à la production. On s’empresse nous aussi de demander notre carte de membre à vie de ce club déluré.
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