L’ancienne leader des Yeah Yeah Yeahs revient aux côtés de Michael Kiwanuka, avec YO ! MY SAINT, un titre composé pour le dernier film KENZO et orchestré par Daniele Luppi. L’occasion de revenir sur quelques-unes des meilleures collaborations de Karen O. L’ancienne leader des Yeah Yeah Yeahs revient aux côtés de Michael Kiwanuka, avec YO! MY SAINT, un titre composé pour le dernier film KENZO et orchestré par Daniele Luppi. L’occasion de revenir sur quelques-unes des meilleures collaborations de Karen O.
Début des années 2000, une poignée de kids biberonnés au garage rock et à la mode déboulent dans une époque dominée par le R’n’B, la pop et la French Touch, pour remettre au goût du jour les guitares, les jean slim et les baskets en toile défoncées (ou les bottine en cuir, c’est selon). Plus tellement tendance depuis le crash Nirvana et la perte de vitesse de l’engouement du public pour les hymnes universels des frangins Gallagher, le rock renaît de ses cendres dans un ultime sursaut trop beau pour être vrai, porté par une vague furibarde de groupes estampillés Retour du rock par la presse internationale. Ils s’appellent The White Stripes, The Strokes, Ben Kweller, Moldy Peaches, Kings of Leon…
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Dans le même temps, la ville de New York City connaît un bouillonnement musical rappelant l’emballement punk et no-wave de la fin des années 70 et devient vite l’épicentre de ce renouveau aux contours stylistiques suffisamment larges, pour qu’on lui associe des groupes plus pop tels que Interpol, LCD Soundsystem ou The Rapture.
C’est à l’intersection de ces deux fulgurances historiques que l’on retrouve les Yeah Yeah Yeahs, groupe de rock pur et dur mené par Karen Lee Orzolek. A l’époque, elle joue et chante plus fort que la concurrence, avec une ferveur et une intensité sexuelle qui lui voudra à plusieurs reprises d’être désignée fille la plus sexy des scènes indépendantes. Après la violente déflagration Fever to Tell, le premier album du groupe, les Yeah Yeah Yeahs s’imposent comme l’une des références les plus évidentes et significatives de l’époque. Parallèlement à la vie du groupe, Karen O poursuit une carrière solo, travaille sur des bandes originales de films (Max et les Maximonstres), est nommée aux Oscars pour la meilleure chanson originale, pour le film Her, de Spike Jonze et multiplie les collaborations.
Elle signe aujourd’hui YO! MY SAINT, avec Michael Kiwanuka pour le dernier film KENZO. L’occasion de revenir sur cinq des featurings les plus marquants de sa carrière :
1 – Daniele Luppi et Parquet Courts : Talisa (feat. Karen O)
https://www.youtube.com/watch?v=hdcLXfQ4jhg
2 – Karen O et Ezra Koening : The Moon Song
3 – David Lynch : Pinky’s Dream (feat. Karen O)
4 – Trent Reznor et Atticus Ross : Immigrant Song (feat. Karen O)
5 – Yeah Yeah Yeahs : Buried Alive (feat. Dr Octagon)
{"type":"Banniere-Basse"}
