Les vicissitudes d’un adolescent dans un village indien.
A Goa, Etat touristique de l’ouest de l’Inde, un adolescent, Santosh, découvre l’amour, tout en conciliant études et travail pour survivre dans son village, qui subit la tyrannie du propriétaire d’un bidonville.
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Ce premier long métrage fait alterner sur un mode romanesque séquences sensuelles et violentes dans un environnement social bien observé. Mais l’exhaustivité et le dosage des registres sont les limites de ce drame sans surprise – un peu de sexe (soft), un peu de violence, et un zeste de Slumdog millionaire –, où les personnages ne tirent guère leur épingle du jeu (hormis le méchant stéréotypé).
Une œuvre couleur locale, politiquement correcte, formatée pour les festivals occidentaux. Assez touchant et convenable, mais cela manque de saveur, problème rédhibitoire pour un film indien.
L’Enfant de Goa de Miransha Naik (In., Fr., P.-B., 2017, 1 h 34)
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