Sous les pavés, la rage Combien d’albums parviennent à rendre fidèlement les sensations du live ? Où disparaissent la sueur, la puissance, l’adrénaline dans le lot des productions épurées, souvent tout juste bonnes à égayer un salon ? Dark Days est un billet : aller simple pour la fosse, énergie continue, petits breaks pour le […]
Sous les pavés, la rage Combien d’albums parviennent à rendre fidèlement les sensations du live ? Où disparaissent la sueur, la puissance, l’adrénaline dans le lot des productions épurées, souvent tout juste bonnes à égayer un salon ? Dark Days est un billet : aller simple pour la fosse, énergie continue, petits breaks pour le souffle, coups de coudes en option’ Concentré de son brut, sans sussucre ajouté, avec ce qu’il faut de Korn pour rassurer l’oreille, des intros venimeuses, des faux airs de Marilyn Manson, des échos vieille école très KMFDM et une voix qui alterne le Deftones angoissant et le ralliement rauque. Et onze titres homogènes, soudés par une énergie constante ? Something Told Me, One Step et Alienate me, pour de longues nuits de slam et de jump entre amis. Un album qui transpire, merci d’être velus
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