Sur le papier, Versus a l’air couillon : deux évadés d’on ne sait où tombent sur un gang de yakuzas et se trucident dans une forêt qui s’avère être le 444e portail de l’enfer.
A l’écran, ces deux heures de kung-fu entre zombies deviennent franchement sympathiques, dopées par l’énergie du réalisateur et son sens de la gestion de l’espace. Versus reste une gentille série Z, mais fait de Kitamura le premier cinéaste post-Matrix.
Versus
Publié le 20 février 2002 à 1h01
Mis à jour
le 16 mars 2021 à 1h59
Alapage