Autrefois charmantes, les Canadiennes virent rombières. Critique et écoute.
Éduquées au folk parental, au piano obligatoire puis au punk libératoire, les deux frangines canadiennes s’en sont émancipées au fil des albums (sept au total), pour s’abandonner à une pop de plus en plus robuste, assumée et, aujourd’hui, rutilante, clinquante et vulgaire.
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Adoubées par Neil Young, adorées par Butch Vig, reprises par les White Stripes, elles ne résistent malheureusement pas à la production massive de Greg Kurstin (Pink, Lily Allen…) ou Justin Meldal-Johnsen (Charlotte Gainsbourg, Beck…), pour une soupe tiède, sans sel, sans âme. On exige le retour immédiat de Tatu.
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