Des Londoniens qui sont plus que des singes savants.
Avec un nom pareil, les Londoniens de Cheatahs n’auraient pu être que des singes savants, se contentant (et ils le font très bien) de singer la pop écartelée, électrocutée, diffractée de My Bloody Valentine ou Ride. Mais leur supplément d’âme, qui fait la différence avec des dizaines de shoegazers coincés au pied du mur du son, c’est qu’eux savent séduire la pop, la rassurer, l’attendrir avant de l’entraîner dans le déluge électrique. La preuve avec The Swan, qui a vu le loup : on reparlera d’eux en 2013.
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