Kitsuné kézako ? Un collectif de graphistes cosmopolite (japo-anglo-franco-suédois) qui décline son univers sur T-shirts, pochettes, designs divers et variés (pour Martin Margiela, etc.). Kitsuné s’est lancé depuis quelques années dans la sortie de compilations “à thème”, composées d’ inédits à forte connotation électronique. Après l’amour (Kitsuné Love), la nuit (Kistuné Midnight), voilà donc le […]
Kitsuné kézako ? Un collectif de graphistes cosmopolite (japo-anglo-franco-suédois) qui décline son univers sur T-shirts, pochettes, designs divers et variés (pour Martin Margiela, etc.). Kitsuné s’est lancé depuis quelques années dans la sortie de compilations « à thème », composées d’ inédits à forte connotation électronique. Après l’amour (Kitsuné Love), la nuit (Kistuné Midnight), voilà donc le cul (Kitsuné X).
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Mise à part la Vénus callipyge incrustée sur le disque, le gentillet Nympho de DJ Assault et l’engageant Teenage Kiss de Joakim, côté stupre, on reste un peu sur sa faim. Côté popotin, par contre, ça dépote. Chauffé à blanc par la dance-pop langoureuse de Popular Computer, l’electro dark de The Mogs ou la mutant-disco de Post No Bills (Trevor Jackson, patron de Output), on perd totalement le contrôle de ses membres inférieurs dès les premières notes du Transe de Volga Select, petit bijou d’electro crade et orgasmique.
Plus soft, les titres suivants, des electro potaches Simian Disco Mobile au percutant Manhead (le Suisse Headman) en passant par les barrés Hot Chip ou le grandiose Captain Comatose, maintiennent joliment la cadence. Mention spéciale au cadeau bonus : le Morse Code de Dieter Schmidt, bombe dance-floor judicieuse et inattendue.
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