Dans une interview accordée au magazine Bilboard, le 14 septembre passé, Kendrick Lamar et Anthony ‘Top Dawg’ Tiffith – qui a découvert et managé Kendrick dès l’âge de 15 ans, puis fondé le label indépendant Top Dawg Entertainment (Schoolboy Q, Jay Rock, SZA…) – se sont confiés sur les débuts de ce qui sera un […]
Le natif de Compton revient sur ses débuts en compagnie de son mentor, Anthony Tiffith, à la tête du label Top Dawg.
Dans une interview accordée au magazine Bilboard, le 14 septembre passé, Kendrick Lamar et Anthony ‘Top Dawg’ Tiffith – qui a découvert et managé Kendrick dès l’âge de 15 ans, puis fondé le label indépendant Top Dawg Entertainment (Schoolboy Q, Jay Rock, SZA…) – se sont confiés sur les débuts de ce qui sera un des meilleurs labels de hip-hop.
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En plus des questions autour de “Top Dawg“, la façon de gérer le label, ou comment ce grand gaillard de 1m85 s’est lancé dans la musique, on y apprend notamment que Kendrick Lamar (alias K Dot, son pseudo de jeunesse) a assisté à son premier concert, à l’occasion de… sa première prestation sur scène ! Pour expliquer cette première expérience live à la fois comme spectateur et comme artiste, Kendrick précise :
« Je n’allais même pas aux concerts. A l’époque, on n’avait pas l’argent pour ça ».
Premier concert en 2006 en compagnie de The Game et Jay Rock
« Le premier concert auquel j’ai assisté, c’est quand je suis parti en tournée avec The Game [et Jay Rock, en 2006] “ confirme Kendrick Lamar au média américain, tout en expliquant que ces shows “coûtaient trop d’argent ! Rien que l’essence à payer “. Il reprend : “ Être sur scène, c’est pour moi un accomplissement de deux choses bien différentes : la performance d’abord, mais aussi de m’amuser comme le public est en train de le faire. “
Outre cette information inédite, qui renforce encore un peu plus la légende de Kendrick Lamar, on a aussi pu apprendre que l’enregistrement de Good Kid, m.A.A.d City (2012) a pris plus de temps que prévu :
“Oui, on a fait trois ou quatre versions de Good Kid, avant que le monde ne le découvre. (…) On y a ajouté de nouvelles chansons, plein de nouvelles choses. Je voulais raconter cette histoire, mais il fallait la produire correctement. Le gros de mon travail repose sur la réalisation. Les titres peuvent être bons, les arrangements aussi, mais si ce n’est pas bien réalisé/interprété/exécuté, le résultat ne peut pas donner un grand album. “
Précisons que depuis, le natif de Compton a multiplié les shows, et vient juste de terminer sa tournée nord-américaine où, il s’est produit plus de 30 fois, dans presque autant de villes. Vous pouvez aussi retrouver l’interview complète via ce lien.
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