Il y a quelques mois, une hype vorace tournoyait autour de cette fanfare mélancolique de Brighton, promettant la lune à ces chansons de crépuscule. Les vautours partis s’amuser ailleurs, avec viande plus fraîche et corvéable, les Bare Skin Rugs sortent sur leur propre label ce premier album de fin de soirée patraque, quand les murs […]
Il y a quelques mois, une hype vorace tournoyait autour de cette fanfare mélancolique de Brighton, promettant la lune à ces chansons de crépuscule. Les vautours partis s’amuser ailleurs, avec viande plus fraîche et corvéable, les Bare Skin Rugs sortent sur leur propre label ce premier album de fin de soirée patraque, quand les murs et les murmures ne sont plus d’équerre. Le moment idéal pour écouter la soul pâle de Lambchop, les ballades en haute altitude de Jeff Buckley ou les complaintes de Roy Orbison ? triangle des Bermudes improbable d’une americana flegmatique, dans lequel aime s’abandonner le blues fastueux, languide et sensuel des Bare Skin Rugs.
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