Hypnose et symbiose, rigueur et improvisation.
La description est comique : « imaginez un Thom Yorke viril, qui irait au Berghain et bastonnerait de la vraie techno ». Côté expérimentations et audaces, les aventuriers d’Archie Pelago étaient déjà allés loin en trio, malaxant une électro à la Bonobo avec des instruments live (violoncelle, saxophone de saison). Mais le trio de Brooklyn voulait à l’évidence aller vers plus d’épaisseur, de rondeurs, de richesse et s’est ici allié avec le producteur américain Grenier, pour un album où cohabitent en parfaite hypnose et symbiose, rigueur des machines et improvisation des hommes. On parlerait presque de jazz, mais ça pourrait faire peur aux enfants.
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