L’édition vinyle et « ultra » du « Lazaretto » de Jack White sera un véritable trésor, bourré de bonus cachés et de trouvailles techniques magiques.
Le garçon qui, il y a quelques jours, tentait de battre le record du monde du disque édité, enregistré et publié le plus rapidement ne manque jamais d’idées folles pour promouvoir les sorties de son label-laboratoire Third Man Records, en l’occurrence son nouvel album Lazaretto à paraître le 10 juin.
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C’est ainsi que le garçon invente pour lui une version « Ultra » de son édition vinyle -qui, pour le coup, mérite sans aucun doute le qualificatif qui lui est attribué. Présenté par White lui-même dans la vidéo ci-dessous, cet objet d’un très nouveau genre offre à celui qui pourra l’acquérir pour le très raisonnable prix de 20$ une impressionnante liste de qualités et bonus divers, qui en font au final un véritable petit coffre aux trésors magiques.
Ce Lazaretto très spécial comprendra ainsi deux chansons cachées. Mais pas n’importe où : les titres seront gravés sous les étiquettes centrales du vinyle. Particularité : l’un des morceaux cachés devra être joué en 78 tours et l’autre en 45 tours, faisant de l’objet un disque à trois vitesses.
Plus génial encore, sur la face-B dont la finition matte lui donnera, selon les mots de Third Man Records, l’apparence d’un vieux 78 tours, l’introduction de Just One Drink différera selon l’emplacement de l’aiguille et sera soit électrique, soit acoustique. « Ces deux intros, acoustique et électrique, se rejoignent au milieu de la chanson puis se mêlent jusqu’à la fin du morceau. C’est quelque chose qui n’a jamais été fait auparavant » explique ainsi White.
Les deux faces de ce Lazaretto vraiment très giga se termineront par une boucle sans fin et cette version, dont l’ordre des titres et certains mixes différeront des éditions en formats CD ou digital, est garantie sans aucune compression du son. Il est enfin expliqué, apparemment une autre première pour un vinyle et bonus ultime, que le pressage sera décoré sur l’une des faces d’un « hologramme gravé à la main par « Tristan Duke d’Infinity Light Science ».
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