Après le art-rock, le rat-rock.
Issu d’une mixtape joyeusement bordélique, ce Sportswear est de rigueur pour qui voudrait cavaler derrière ce rock sprinteur, qui fait semblant de rapper comme un Mike Skinner accéléré aux amphets de compétition. Produit à la main tremblante, sur du matériel réformé, ce croisement tout à fait impossible entre deux gouailles et deux frénésies – les Libertines et les Streets – est une immense joie, la preuve vivante que Londres tente dans tous ses recoins, même les plus exigus, d’inventer un futur à sa pop-music. Après le art-rock, le rat-rock.
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