Ecce homo : l’homme, c’est Grant Hart ex-Husker Dü, Nova Mob qui s’aventure dans l’exercice périlleux de l’album-solo-débranché-en-public. Qui aurait osé imaginer pareille chose une dizaine d’années plus tôt, dès les premiers crépitements de l’épopée irascible d’Husker Dü ? Voici l’homme, donc. Le vrai (?), dénudé, sans manteau métallique ni maillot de corps […]
Ecce homo : l’homme, c’est Grant Hart ex-Husker Dü, Nova Mob qui s’aventure dans l’exercice périlleux de l’album-solo-débranché-en-public. Qui aurait osé imaginer pareille chose une dizaine d’années plus tôt, dès les premiers crépitements de l’épopée irascible d’Husker Dü ? Voici l’homme, donc. Le vrai (?), dénudé, sans manteau métallique ni maillot de corps rythmique, abandonné par ses compagnons de tapage. Grant Hart, sa voix et sa guitare offrent alors une autre lecture de ce répertoire initialement écrit à grand renfort de décibels. Surtout, ne pas s’attendre à plus : ni la splendide tristesse de Palace, ni la charmante folie de Barlow, ni le fabuleux système D de Beck ne se sont penchés sur le berceau de Ecce homo. Bel homme, néanmoins.
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