Même si Fagen et Becker avaient déjà publié quelques morceaux sans grande envergure, les choses sérieuses commencent avec cet album dont l’intro du morceau d’ouverture, l’épique Do it again et son vibraphone en forme de serpentin, suffira à propulser du jour au lendemain Steely Dan au devant de la scène internationale. La pochette post-hippie et […]
Même si Fagen et Becker avaient déjà publié quelques morceaux sans grande envergure, les choses sérieuses commencent avec cet album dont l’intro du morceau d’ouverture, l’épique Do it again et son vibraphone en forme de serpentin, suffira à propulser du jour au lendemain Steely Dan au devant de la scène internationale. La pochette post-hippie et le calibre relativement sage des compositions laisse toutefois entrevoir déjà la nature tordue et perverse des deux cerveaux, dont les intentions paraissent pourtant encore un peu floue.
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