La gaîté et les bonnes couleurs de Peluché emmerdent l’automne.
Comme hier, un nom trompeur : Peluché vient de Londres. On ne précise pas la décennie : cette pop raide et pourtant élastique, aux rythmiques cassantes et pourtant souples pourrait très bien venir du début des années 80, quelque part antre The Passions, The Au-Pairs ou Raincoats. Depuis que Ohio nous est tombé sur les hanches, on n’arrête pas de gigoter sur ce refrain en saccades, dont la gaîté et les bonnes couleurs emmerdent l’automne – et puis l’hiver, quand le trio sortira son album. Adorable.
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